Aurais-je assez de matière pour rédiger un ouvrage entier sur les critiques de cinéma et leur misérable univers ? Non, certes, non. Et ce serait faire trop d'honneur à un monde sclérosé et satisfait où l'on apprend méthodiquement à mépriser ce que l'on a adoré.
Aucune rancoeur malgré les apparences, juste une vague tristesse. Fugitive. Passagère. Déjà lointaine.
Ouvrons la fenêtre, respirons le bon air du printemps.
Aaaaaah, that's better.
Now it's on.
samedi 27 mars 2010
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