vendredi 11 novembre 2011

Décret

Je suis un bloggueur influent.


"Mon cul !"

mercredi 19 octobre 2011

La puissance du procédé analytique

Ici c'est un vrai blog politique, attention.
On y parle de l'actualité en direct, tiens.
Ce qui fait tourner la France, t'as vu.

dimanche 16 octobre 2011

La moitié de la vérité

Toi aussi tu vas revoter aux primaires du PS, hein.

samedi 8 octobre 2011

Range ta chambre !

Toi aussi tu vas voter à la primaire socialiste.

vendredi 7 octobre 2011

Le bourg de Monte



Merde aux blogueurs




"Je suis Kat Dennings et j'approuve ce message."


"Je suis une gerboise et j'approuve ce message aussi."

Et toc !

Masochisme

Mais pourquoi lis-je encore des blogs ciné, musique, jeunes, tendances, hype, cool, etc ?

Il y a un certain plaisir à voir jusqu'où peut aller l'aveuglement et la bêtise, la vulgarité et la nullité ou bien encore le néant débité jusqu'à l'absurde. Parfois on ne peut se retenir d'y jeter un oeil, histoire de conforter sa décision de s'en tenir le plus loin possible.
Loin, loin, loin...

Je sais, c'est dur de résister à la tentation. C'est aussi une manière de se rassurer quand on s'expose à la médiocrité.
Mais non, ce n'est pas bien. Un clic est un clic et un clic c'est déjà de trop. Une minute de votre vie à vous faire du mal sur internet, c'est une minute de perdue.

Halte au gâchis.

Tiens mais qu'est-ce que Bertrand fait là ?

Nous encourage-t-il de sa bienveillance à ne plus lire les immondices des blogs ?
Probablement.

Sacré Bertrand.
Toujours de bon conseil.

vendredi 16 septembre 2011

Just a song


Et si je transformais ce lieu en blog politique ?

jeudi 8 septembre 2011

Oh well


A la demande générale de moi-même, ce blog reste ouvert.

lundi 22 août 2011

Fill the void

Site personnel
Blog
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Twitter
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et puis quoi encore ?
Bon sang, j'en oublie.
Il en tombe de partout.
J'aimerais bien avoir quelque chose d'intéressant à dire partout.
Mais non.
Déjà qu'il faut du temps pour trouver une chose qui semble un peu pertinente à écrire à un endroit.
Alors à 10...
C'est du pousse au crime.
C'est encourager l'incontinence textuelle.
Alors j'écris quand je le veux.
Voilà.
Et toc.

jeudi 19 mai 2011

L'Arbre de Vie

En marge de ma première critique du chef-d'oeuvre de Terrence Malick, je ne peux m'empêcher de publier une note corrigeant certaines erreurs factuelles absurdes que je ne cesse d'entendre (à compléter, donc).

ATTENTION RÉVÉLATIONS !

1- Ce n'est pas le Paradis que l'on découvre à la fin du film, c'est la fin des temps. Comme dit juste avant la scène de la plage par Sean Penn. "Guide us... to the end of time."
Qui dit "fin des temps", dit superposition des époques, des ages, possibilité de retrouver n'importe qui à n'importe quel moment de sa vie, à n'importe quel age.

2- Les dinosaures ne sont présents que dans 4 ou 5 plans en tout et pour tout, et probablement 3 minutes sur 2h18. Ceux qui n'ont retenu que cela du film devraient envisager de grandir un peu. Même si la scène où Malick accorde l'âme à un dinosaure est probablement l'une des plus métaphysiques de toute son oeuvre.

3- Les bras m'en tombent quand je lis que c'est l'un des fils de Brad Pitt qui meurt noyé dans la piscine, alors que c'est clairement l'enfant d'une autre famille. Il s'agit juste du premier instant où les enfants se trouvent confrontés à la mort, en particulier la leur (le jeune Sean Penn étant trop petit pour comprendre ce qui arrive à son grand-père auparavant).

4- Pire. Des spectateurs imaginent (dans leur esprit délirant) que le frère de 19 ans décèdent AVANT la naissance de Sean Penn (qui est l'aîné) et donc ne comprennent strictement rien au film dès la première scène.

5- Un seul plan du film est commun avec le Home de Yann Arthus-Bertrand et aucun avec les fonds d'écran Windows. Ceci pour répondre aux débiles mentaux (y a pas d'autres mots) qui considèrent de belles images comme une preuve de nullité cinématographique.

6- Le Dieu des philosophes est omniprésent dans les questionnements de Tree of Life. Celui des Chrétiens aussi, car Malick ne s'adresse pas qu'aux intellectuels. Il fait cohabiter les croyances les plus simples avec les réflexions les plus élevés. Lui reprocher son ambition c'est faire le jeu de l'omniprésent nivellement par le bas.

(to be continued)


jeudi 28 avril 2011

.....

Difficile d'avoir toujours quelque chose à dire.
On ne croirait pas comme ça.
Que même pour moi cela soit si compliqué.
Ce n'est pas tant d'avoir quelque chose "d'intéressant" à écrire.
Non.
Juste quelque chose.
Plutôt que le silence.
Le vide.
La page blanche (ou noire, ou grise).
Quelque chose plutôt que rien.

Après on peut céder à la facilité.
Et se répéter, et se répéter.
Pas compliquer d'avoir un avis sur tout.
Il n'y a rien de plus simple.
Mais ce n'est pas quelque chose.
C'est juste simple et rien.

Parfois on cède, on se simplifie la vie.
On redit et on radote.
Je redis et je radote.
Toujours ça.

vendredi 4 mars 2011

Comme un songe

Merveilleux équilibre cinématographique et musical en ce début d'année.
Dans les deux cas, cela commence sur les chapeaux de roue.
Black Swan, True Grit, Winter's Bone, Detective Dee...
PJ Harvey, The Go! Team, Destroyer, James Blake...
Heureux, quoi, mais tellement heureux.

Vu deux fois Black Swan en salle, cela faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé.

Il se passe quelque chose de bien.

Ah.
Une voie dans les ruelles emplies d'aveugles, peut-être...

vendredi 21 janvier 2011

Vlan... pan... boum....

Alors comme ça on ne va pas célébrer Céline.
Dans un sens, tant mieux, pas de Panthéon pour le sacripant.
Dans un autre, ça sent une nouvelle victoire du politiquement correct.
Vous savez, celui qui fait le nid des néo-réacs.
Pendant que les jeunes conformistes nombrilistes endorment les foules.

Ah, on est mal barré...

jeudi 20 janvier 2011

Twi Tueur

J'y arrive pas.
J'ai rien à y dire de marrant en moins de 140 signes.
C'est absurde.
Quel exercice aberrant.
Surtout pour quelqu'un comme moi qui ne sait ni écrire en abrégé, ni faire court.
J'aime en rajouter. Des adjectifs. Des onomatopées. De la ponctuation. Des trucs partout. Pour le plaisir du texte, hum, ouiii, le plaisir de la langue...

Tweeter, c'est la castration du texte.

vendredi 14 janvier 2011

Il n'y a que les imbéciles...

Black Swan débute.

Natalie Portman, c'te laitue.
Pourrais-je un jour lui pardonner d'avoir donné la réplique à Jar Jar Binks ?
D'avoir enchaîné les pires panouilles adolescentes (Garden State, ce genre) ?
D'être si fade, si insipide ?

Black Swan avance.

En fait c'est le rôle parfait pour Portman.
La coincée du cul. Qui veut être parfaite. Mais qui n'a ni coeur, ni âme.
Toute froide. Toute frigide.

Black Swan referme son piège.

Il se passe quelque chose...
Comme s'il suffisait qu'un grand réalisateur triture les tripes de la Natalie.
Oh diantre !
Oh punaise !
Serait-ce... comme le jargon du critique à la con le clame #lerôledunevie ?

Black Swan s'achève
et...

"I was just perfect..."

Love, love, love, etc.

mardi 11 janvier 2011

Soudain le viiiiide

Certains films gagneraient à savoir couper court.

Parfois, oui.

On a des noms.

lundi 10 janvier 2011

Sacrifice, sacrifice, sacrifice

Erreur : avoir repris la lecture de la presse cinéma française sur le web.

Solution : boire pour oublier


Problème : je ne bois plus.

Solution : déléguer (et non pas dégueuler)



Notre Lilo après lecture d'un blog cinéma populaire


Si Lindsay rechute, c'est la faute aux blagueurs ciné.
Le monde doit savoir.
Scandale, quoi.

samedi 8 janvier 2011

The Web's Worst Tweets

Tiens, le jeune, t'en as rêvé ? Tu t'en fous ?
Le vlà quand même.
Le Tweeter à Edwood.
Garantie pas comme les autres.
Le jeune.
T'es content ?
Non ?
Tant pis pour ta gueule.

Twitter ou les chiures de l'âme

Dans ma palpitante guerre contre les blogs, je n'ai jamais pris la peine d'envoyer une sagaie sur Twitter.
Comme pour les blogs, tout n'est pas à jeter sur Twitter, surtout quand les gens d'esprit y lancent leurs mots du moment. Le bonheur c'est d'avoir quotidiennement des nouvelles de Simon Pegg ou de Diora Baird. Des gens drôles, intelligents, simples et tout.
Et il y a le côté informatif auprès de certains sites d'importance (Pitchfork, aller, au hasard).
Par contre 99% de Twitter est à présent peuplé de la vie privée de la banalité du monde, non plus en rot de l'ego façon blog, mais carrément en petites chiures du flux de l'esprit. On n'est même plus au niveau de la conversation de bistrot, mais carrément dans le domaine du "Je viens d'acheter du pain" ou "j'ai vu un film, il est tout pourri" ou même "salut mon cousin, passé un bon Noël".
Le premier intérêt de ce genre de lecture est le plaisir de la consternation.
Le deuxième, la joie de l'élimination.

mercredi 5 janvier 2011

Happy New Year

Bonne année, crévindiou !


Métaphore : Quand Joanna feule, le chat passe (ou chat se casse)